Projection Caissargues 5 décembre 22
Retours d'expérience
"On ne choisit pas d’être aidant. On se trouve face à une situation, et il faut être là pour l’autre. Cela arrive petit à petit et pour le moment, j’accompagne, le quotidien et moralement."
"C’est comme un serpent qui avale une souris, une situation que l’on digère doucement. Bon, au fond, on a le choix, ses parents ou son mari ou sa femme, on peut toujours dire non, au revoir."
"Aider et aimer, il y a une seule lettre de différence.
"L’aidant aime avant tout la personne, à la différence des professionnels. Je fais ce que je souhaiterai que l’on fasse pour moi. Aidant, cela nous tombe dessus, on s’adapte. Et faire ça, c’est ce qu’il y a de mieux pour les gens qu’on aime."
"À la mort de mon père, j’ai ressenti une plénitude à avoir vécu ces gestes-là."
"L’aidant se dépasse, parfois trop, mais ce dépassement laisse un sentiment d’accomplissement, on n’en sort pas pareil."
"C’est comme un serpent qui avale une souris, une situation que l’on digère doucement. Bon, au fond, on a le choix, ses parents ou son mari ou sa femme, on peut toujours dire non, au revoir."
"Aider et aimer, il y a une seule lettre de différence.
"L’aidant aime avant tout la personne, à la différence des professionnels. Je fais ce que je souhaiterai que l’on fasse pour moi. Aidant, cela nous tombe dessus, on s’adapte. Et faire ça, c’est ce qu’il y a de mieux pour les gens qu’on aime."
"À la mort de mon père, j’ai ressenti une plénitude à avoir vécu ces gestes-là."
"L’aidant se dépasse, parfois trop, mais ce dépassement laisse un sentiment d’accomplissement, on n’en sort pas pareil."