Projection Clapiers le 30 septembre
Retours d'expérience
«J’ai vu tout l’amour qu’il y a même si on entend le ras le bol, le répit, penser à soi. On y retourne car c’est l’amour qui conduit. C’est ce qui m’a submergé, de ne pas abandonner et baisser les bras» (élue en charge du social)
«En tant qu'infirmier je suis gêné par la distance professionnel qu’on m'impose : fais juste ton job et pas plus. Comment faire face à quelqu’un en fin de vie ? Qui veut partager ? On me dit que ce n'est pas mon rôle. Et heureusement que les aidants peuvent assurer le côté humain et affectif ; ils ne sont pas payés pour ça mais ça aide à ce que les aidés restent en vie» (infirmier libéral)
«Je me dit plutôt assistant de la vie de ma mère que aidant même si depuis que je suis aidant ma relation à l’entourage est bouleversée. Plus de temps pour accompagner sa maman au détriment de mon épouse, moins de tps, moins de vacances... Ce n'est pas encore pesant mais j'entends à travers le documentaire qu'il faut faire attention aux limites»
«En tant qu'infirmier je suis gêné par la distance professionnel qu’on m'impose : fais juste ton job et pas plus. Comment faire face à quelqu’un en fin de vie ? Qui veut partager ? On me dit que ce n'est pas mon rôle. Et heureusement que les aidants peuvent assurer le côté humain et affectif ; ils ne sont pas payés pour ça mais ça aide à ce que les aidés restent en vie» (infirmier libéral)
«Je me dit plutôt assistant de la vie de ma mère que aidant même si depuis que je suis aidant ma relation à l’entourage est bouleversée. Plus de temps pour accompagner sa maman au détriment de mon épouse, moins de tps, moins de vacances... Ce n'est pas encore pesant mais j'entends à travers le documentaire qu'il faut faire attention aux limites»